Une des pierres d'un pilier de l'église orthodoxe serbe que les Ottomans avaient détruite pour se servir des pierres pour construire les fondations de leur mosquée et éffacer toute trace de présence Orthodoxe Serbe dans la région.
Une des pierres tombale du cimetière orthodoxe serbe que les Ottomans avaient détruit. Ils s'étaient servis d’une partie d’entre elles pour bâtir les fondations de la mosquée et avaient enterré les autres pour éffacer toute trace de présence Orthodoxe Serbe dans la région.
Une des pierres tombale du cimetière orthodoxe serbe que les Ottomans avaient détruit. Ils s'étaient servis d’une partie d’entre elles pour bâtir les fondations de la mosquée et avaient enterré les autres pour éffacer toute trace de présence Orthodoxe Serbe dans la région.
Une des stèles découvertes. Le texte est gravé en langue Serbe et en alphabet cyrillique ancien, qui, depuis la réforme de la langue Serbe par Vuk Karadzic (en 1818 par la publication du «Dictionnaire de la langue serbe»), est difficilement compréhensible. Les linguistes appellent aujourd’hui cette langue la « rédaction serbe de la langue des slaves anciens ». A cette époque il n’existait que trois types de «rédactions» : la russe, la bulgare et la serbe.
Une des stèles découvertes gravée en serbe ancien utilisé comme fondation à une mosquée ottomane à Bijelina découverte dans les fouilles
Monticule de gravas contenant des vestiges non répertoriés, mais des pierres tombales sont visibles
Tas de terre avec des vestiges non répertoriés
Monticule de gravas contenant des vestiges non répertoriés
Pierre d'un pilier de l'église orthodoxe utilisé par les Ottomans pour bâtir les fondations de la mosquée de Bijelina
Pierre d'un pilier de l'église orthodoxe utilisée par les Ottomans pour bâtir les fondations de la mosquée de Bijelina
Une des pierres d'un pilier de l'église orthodoxe ayant servi de fondation aux Ottomans pour leur mosquée de Bijelina
Mirko Babic, le directeur du Musée de Semberija, montre les moyens dérisoires dont il disposait pour protéger le lieu des fouilles
Le sol de l'Eglise (couche blanche) sous les fondations de la mosquée de Bijelina (couche rouge)
Le sol de l'Eglise (couche blanche) sous 50 cm de terre et le sol de la mosquée (couche rouge)
Une des stèles du cimetière orthodoxe serbe découverte sous les fondation de la mosquée Ottomane
Une des stèles du cimetière orthodoxe serbe découverte sous les fondation de la mosquée Ottomane
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